Il y a longtemps, Dieu a crée la terre, les hommes, et aussi les pierres. Et le temps passa, et personne ne fit attention à ces bouts de graviers, qui n’avaient pas d’âme, qui n’étaient pas vivants. Sans savoir que certains d’eux pouvaient procurer un don magique…
1828– Angleterre
La petite Victoria, se promenait dans son jardin, l’énorme jardin du palais royal d’Angleterre. Elle n’aimait pas trop les cours que les professeurs tous plus savants les uns que les autres venaient lui donner. Pour elle, le français était de l’espagnol, l’anglais avait trop de conjugaisons et exceptions, les mathématiques se mélangeaient trop avec l’alphabet, la science était observable sans avoir de cours, les arts étaient pour ceux qui voulaient devenir artiste. Et puis, même si elle était la future reine d’Angleterre, les cours de bonnes manières ne lui plaisaient pas du tout.
Alors, elle préférait se promener dans son jardin, parce qu’elle aimait bien, c’était agréable, avec pleins de feuilles partout. Alors qu’elle jouait avec sa poupée, voilà qu’elle voit un caillou bien étrange, tout rouge, flamboyant. Elle le prend dans ses mains, et l’observe. Avant même qu’elle n’ait put dire quelque chose, voilà que la petite pierre se met à briller, et lui rentre dans la main. Ça ne lui a même pas fait mal, mais c’est très bizarre. Elle essaye de l’enlever, mais c’est comme si elle arrachait sa propre peau, et se met à pleurer. Victoria sent qu’elle va se faire disputer par ses parents, parce qu’elle a encore fait une bêtise. Elle aimerait bien être plus intelligente et n’avoir plus rien à apprendre.
Soudain, alors qu’elle eut cette pensée, voilà que sa main se met à briller, elle se sent bizarre, c’est comme si quelqu’un lui soufflait pleins de choses dans sa petite tête d’enfant de 9 ans. Pleins de savoirs, pleins de trucs qu’elle ne connaissait pas, et qu’elle finit par apprendre d’un seul coup. Ne comprenant pas ce qui lui arriva, elle se mit à courir, lâchant sa petite poupée, l’abandonnant dans le jardin. Allant pleurer dans les bras de sa mère.
Dix ans plus tard en 1838 – Angleterre
Voilà que la jeune Victoria est devenue grande, et cela fait un an qu’elle a eut accès au trône. Tout le monde la respecte comme la reine qu’elle est. Et un jour, elle se leva de son trône, et annonça d’une voix claire, nette et précise à ses jardiniers :
- Je vous ordonne d’aller ramasser, sans surtout les touchers avec les mains ou avec le corps, les pierres qui se trouvent dans mon jardin, de couleur étrange.
C’était un ordre bien étrange, mais les jardiniers ne pouvaient désobéir, et parvinrent à ne pas les toucher pour les ramasser. Ensuite, la jeune reine ordonna à ce qu’on les sème partout sur le chemin de Londres. Comme si elle voulait s’en débarrasser. L’ordre fut exécuté, et il ne resta plus rien des cailloux aux couleurs bizarres, qui n’étaient pas tous rouges, mais aussi, bleus, jaunes, verts, et toutes les couleurs qui puissent exister en ce monde.
Ce qu’elle ne sut pas, ce fut que les cailloux se reproduisirent avec les autres, plus ordinaires. Et chaque fois qu’on les touchait, que ce soit avec n’importe quelle partie du corps, on obtenait le pouvoir que l’on a toujours rêvé d’avoir.
Ainsi donc, bienvenue en Angleterre. En 1873, alors que la reine n’a pas put parvenir a arrêter les pierres magiques. Serez-vous un possesseur d’une de ces nombreuses pierres, ou bien juste un simple humain qu’il soit aristocrate ou non ? A vous de choisir.
Contexte : En 1873, voilà que dans les rues de Londres, on s'agite, on s'affole. Les pierres sont répandues, la plupart des londoniens en ont une, et voilà, il semblerait que tout ne va pas dans le meilleur des mondes. Un hurlement retentit au loin. On s'effraie, on tremble, mais on doit faire face à la vérité. Quelqu'un a souhaité avoir le pouvoir d'éventrer les gens, et voilà que des prostituées meurent sans rien pouvoir faire. On se dit "ce n'est pas les pierres qui font ça, c'est un simple humain muni d'un couteau !" mais voilà, tout porte à croire qu'un simple humain, à toujours souhaité avoir le pouvoir de tuer les gens. On prend peur, on s'affole, on en rit, on s'en moque, et on finit par le nommer Jack The Ripper.
Les détectives de tout les coins du monde viennent rechercher l'existence de ces pierres procurant un pouvoir, mais pas seulement... Ils cherchent aussi l'identité de Jack. Prenez garde londoniens, rentrez bien chez vous la nuit...
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Merci d'avance :D
Albert Wesker "Humanity is entirely overrated."
Messages : 272 Age (en 1998) : 38 Nationalité : Anglaise ? Quote : " Man is least himself when he talks in his own person. Give him a mask, and he will tell you the truth. "